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Le ministre des Travaux publics et des Infrastructures de base, Abdelkader Djellaoui, a affirmé, jeudi, que son secteur œuvre, en coordination avec le ministère de l’Intérieur, des Collectivités locales et des Transports, ainsi qu’avec les Walis, à résoudre le cas des ralentisseurs n’ayant pas été réalisés dans les normes, afin de les mettre en conformité, tant au niveau des routes nationales qu’urbaines, et en enlevant ceux installés de façon anarchique. Lors d’une séance plénière à l’Assemblée populaire nationale (APN), M. Djellaoui a expliqué que cette opération, pour laquelle une instruction conjointe a été adressée aux Walis, vise à réduire les accidents de la circulation et à assurer la sécurité des véhicules. Répondant à l’un des députés, le ministre a indiqué que le phénomène des ralentisseurs non conformes aux normes ou installés de manière anarchique constitue un « véritable problème auquel il sera remédié ». The post Djellaoui promet de résoudre le problème des ralentisseurs mal installés appeared first on Algerie Eco.

La filière de la pomme de terre a connu, ces dernières années dans la wilaya de Tébessa, un développement notable grâce à l’extension des surfaces qui lui sont consacrées, à l’engouement des agriculteurs pour cette culture et aux soutiens et facilités accordés par l’Etat, conduisant à une production de l’ordre de 1 million 700.000 quintaux durant la saison agricole en cours. Cette augmentation significative de la production de pommes de terre a contribué à la disponibilité de ce produit de large consommation sur le marché, entraînant une stabilité des prix de vente et un soulagement parmi les citoyens, tout en ouvrant la voie aux producteurs pour l’exporter vers la Tunisie et la Libye via le poste frontalier de Bouchebka (Tébessa). Le directeur des services agricoles (DSA), Djamel Boudjenah, a indiqué à l’APS que la wilaya de Tébessa est devenue « un pôle agricole par excellence », au niveau national, dans la filière de la pomme de terre. Selon lui, la superficie dédiée à cette filière connaît une augmentation significative depuis cinq ans, passant de 2.860 hectares en 2020 à 4.138 hectares en 2025, principalement dans les communes d’El Ma Labiodh et d’El Houidjbat. Le même responsable a ajouté que le rendement moyen a dépassé, cette année, les 400 quintaux par hectare, ce qui reflète « les efforts des techniciens visant à accompagner les agriculteurs sur le terrain, que ce soit à travers des sorties sur le terrain ou l’organisation de journées de formation sur la nécessité de suivre le parcours technique depuis la préparation du sol jusqu’à la récolte ». Il a également estimé que le soutien des prix des engrais de profondeur par l’Etat et leur mise en quantités suffisantes à la disposition des producteurs a favorisé « une adhésion massive des agriculteurs à cette filière agricole qui connaît un succès remarquable dans la wilaya frontalière de Tébessa ». Le secteur de l’agriculture a été renforcé en juillet dernier dans cette wilaya par la mise en service d’un complexe de réfrigération d’une capacité de 5.000 m³ dans la commune de Cheria, essentiellement destiné à la conservation et au stockage des pommes de terre, mais également d’autres fruits et légumes. Cette installation, qui a nécessité un investissement public de 630 millions DA, s’étend sur une superficie d’environ 3 hectares et comprend 9 petites chambres froides pour le stockage de divers produits agricoles. Expériences réussies dans la daïra d’El Ma Labiodh Les agriculteurs des communes d’El Ma Labiodh et d’El Houidjbat (daïra d’El Ma Labiodh) ont acquis une expérience dans la production de pommes de terre, surtout que cette région comprend plus de la moitié de la superficie dédiée à cette filière dans la wilaya, en plus de disposer de conditions climatiques favorables et de ressources d’irrigation. Dans ce sens, Bilal Djabri, agriculteur depuis plus de vingt ans dans la commune d’El Houidjbat, a souligné l’importance de maîtriser les techniques de la préparation du sol avant la plantation, de respecter le parcours technique et le volume d’eau nécessaire à chaque type de pomme de terre, ainsi que les quantités d’engrais et leur profondeur et de savoir déceler les maladies pouvant affecter les tubercules, estimant que cela contribue au développement de la filière pomme de terre dans la région. Il a également tenu à saluer les efforts déployés par l’Etat pour promouvoir et développer le secteur agricole, que ce soit en raccordant les exploitations agricoles à l’électricité ou en accordant des autorisations de forage, appelant à réaliser de nouvelles chambres froides, car le complexe frigorifique de Cheria ne suffit pas, a-t-il dit, pour absorber la production totale. The post Tébessa : la filière de la pomme de terre en plein développement appeared first on Algerie Eco.

La Banque mondiale a évoqué, dans son dernier rapport de suivi de la situation de l’économie algérienne, l’évolution des Investissement directs étrangers (IDE) captés par l’Algérie. Selon l’institution financière internationale, au premier semestre 2025, les annonces d’IDE ont franchi le seuil de 1 milliard de dollars, « un niveau inédit depuis la pandémie de Covid-19 ». La Banque mondiale rappelle d’abord l’évolution des IDE de l’Algérie. « Les flux entrants d’investissement direct étranger (IDE) en Algérie ont historiquement connu une forte volatilité, reflétant à la fois les cycles économiques mondiaux et les changements de politique intérieure », note le rapport. Et de rappeler : « Après un pic d’environ 2,58 milliards d’USD en 2011, les entrées d’IDE ont fortement chuté lors de la baisse des prix du pétrole, enregistrant même un flux net sortant d’environ 580 millions d’USD en 2015. À partir de 2016, les IDE ont progressivement repris, tout en demeurant modestes par rapport aux pays comparables de la région, en raison de réglementations restrictives en matière d’investissement et d’une forte dépendance aux hydrocarbures. » « Cette volatilité est encore plus marquée pour les annonces d’IDE, qui reflètent les intentions ou projets d’investissement des entreprises », explique la Banque mondiale, et de rappeler : « En 2016 et 2018, ces annonces ont atteint des sommets respectifs de 7,3 milliards et 9,3 milliards d’USD, portés par un nombre limité de projets de grande envergure dans les secteurs de la chimie, des transports et de la logistique. » Les annonces d’IDE ont franchi le seuil de 1 milliard de dollars au premier semestres 2025 « Les réformes réglementaires récentes visant à attirer les capitaux étrangers commencent à produire des effets, accompagnées d’un rééquilibrage progressif vers les investisseurs chinois », selon la Banque mondiale, et d’annoncer : « Au premier semestre 2025, les annonces d’IDE ont franchi le seuil de 1 milliard d’USD, un niveau inédit depuis la pandémie de Covid-19. » « Ce regain témoigne vraisemblablement d’une future hausse des flux officiels d’IDE, qui ont atteint 1,4 milliard d’USD en 2024, soutenus par des prix du pétrole élevés, un environnement réglementaire plus favorable aux investisseurs étrangers, et une augmentation des investissements dans le secteur des hydrocarbures », explique la même source. « La Chine a représenté un tiers des annonces d’IDE entre 2020 et 2025 » Et de souligner : « La Chine a représenté un tiers des annonces d’IDE entre 2020 et 2025, une progression notable par rapport à il y a dix ans, lorsque sa part était inférieure à 2 %. Les parts de la Turquie et du Qatar sont restées relativement stables, tandis que la contribution des entreprises européennes a diminué. » Au cours de la dernière décennie, précise le rapport, « les secteurs de la chimie, des transports et des minéraux ont concentré la plus grande part des investissements en capital, mais le secteur automobile les a surpassés en termes de création d’emplois estimée. » « Sur la période 2010 2014, les annonces d’IDE étaient principalement concentrées dans la métallurgie (31,8 %), l’immobilier (22,1 %) et le textile (14,8 %) », relève le document, et d’ajouter : « Entre 2020 et 2025, la répartition sectorielle s’est modifiée au profit de la métallurgie (28,4 %), de l’automobile (22,9 %) et de la chimie (16 %), traduisant une évolution vers les industries manufacturières. » En termes de création d’emplois, les écarts sectoriels sont significatifs, note encore la Banque mondiale. « Si la chimie a attiré la plus grande part des investissements en capital depuis 2010 (environ 9 milliards de dollars), elle n’a généré qu’environ 6 000 emplois, contre 22 000 emplois pour le secteur automobile, qui n’a mobilisé qu’environ 2,5 milliards d’USD », relève la même source, et d’expliquer : « Cela correspond à des différences marquées d’intensité en main-d’œuvre : environ 0,7 emploi par million de dollars investi dans la chimie, contre 9 emplois pour le secteur automobile. » The post Algérie : Les annonces d’IDE ont franchi le seuil de 1 milliard $ au premier semestres 2025 appeared first on Algerie Eco.

La deuxième journée du Groupe D de la Coupe Arabe de la FIFA 2025 mettra aux prises l’Algérie et le Bahreïn. Après un premier match terminé par un score nul face au Soudan, la sélection algérienne aborde cette rencontre avec l’objectif de poursuivre son parcours dans la compétition. Le match se jouera au Khalifa International Stadium, à Al Rayyan, au Qatar. Lors de la première journée, l’équipe d’Algérie a partagé les points avec la sélection du Soudan. Cette rencontre s’est conclue sur un score de 0-0. Le match s’était déroulé avec une organisation défensive importante et un effectif réduit à dix après une expulsion en seconde période. Le résultat a eu pour conséquence de laisser l’Irak prendre la première place du groupe avec trois points. La rencontre face au Bahreïn constitue la deuxième étape du calendrier du Groupe D. Elle permet à la sélection algérienne de poursuivre la phase de groupes contre un adversaire rencontré une seule fois dans l’histoire récente de la compétition. La seule confrontation dans ce contexte remonte à l’édition de 1988 à Amman, au cours de laquelle les deux équipes s’étaient quittées sur un résultat de 0-0. Le sélectionneur Madjid Bougherra conduit la sélection pour cette édition 2025 de la Coupe Arabe de la FIFA. L’objectif principal du staff technique est porté principalement sur la nécessité de retrouver de l’efficacité offensive après une première rencontre dominée dans le jeu, mais sans but inscrit. Date, heure et organisation du match La rencontre entre l’Algérie et le Bahreïn aura lieu le samedi 6 décembre 2025. Le coup d’envoi sera donné à 14 h 30 selon l’heure algérienne, correspondant à 13 h 30 GMT. Le match se déroulera au Khalifa International Stadium, une stade utilisé régulièrement pour les compétitions internationales organisées au Qatar. Dans son format actuel, la Coupe Arabe de la FIFA 2025 suit un calendrier de trois journées de phase de groupes par sélection, avant les phases à élimination directe. Ce match constitue la deuxième étape du parcours algérien dans cette phase initiale, avant le match choc face à l’Irak. Le coach du Bahrein, Dragan Talajic qui s’exprime avant le match de l’Algerie. On y apprend que ce dernier n’est nul autre qu’un bon ami de Vladimir Petkovic Ce coach a des bons petits resultats, esperons qu’on ait de la chance samedi car tactiquement ce sera dur avec le hagar pic.twitter.com/KgxXJ0g1OJ — Jean Monique (@Jean_Monique87) December 4, 2025 Diffusion télévisée et chaînes disponibles Le match sera diffusé en France sur la chaîne beIN Sports 8, appartenant au groupe beIN Media Group, qui détient les droits de diffusion de la compétition pour le territoire français. Plusieurs chaînes de la région Moyen-Orient et Afrique du Nord retransmettront également la rencontre. Parmi elles figurent Al Kass Sports, Abu Dhabi Sports et Dubai Sports, toutes trois impliquées dans la diffusion régulière d’événements sportifs internationaux. Pour les supporters algériens souhaitant suivre le match, la chaine de télévision publique assure également la diffusion des matchs des fennecs gratuitement et en direct, via la chaine terrestre.   Vous avez aimé cet article ? Ne ratez pas notre dernier article ! Source : ObservAlgerie

Le directeur général des forêts (DGF), Djamel Touahria, a affirmé, jeudi à Sétif, que les surfaces forestières touchées à travers le pays par les incendies ont diminué de 90 % en 2025, ce qui traduit les progrès et l’efficacité de la stratégie nationale destinée à lutter contre les feux de forêt et à en atténuer les effets. M. Touahria a précisé lors d’une visite d’inspection de plusieurs projets relevant de son secteur, qu’au cours de l’année en cours, et pour la deuxième année consécutive, le nombre d’incendies de forêts enregistrés et les surfaces brûlées ont été maîtrisés grâce à une série de mesures préventives et au renforcement des mécanismes de prévention et d’intervention rapide. Le même responsable a également souligné, à cette occasion, que la superficie touchée par les incendies cette année « n’a pas dépassé les 5.000 hectares de forêts, de maquis, de broussailles, et autres ». M. Touahria a par ailleurs ajouté que la mise en œuvre du plan d’action relatif à la réhabilitation, à l’extension et au développement du barrage vert, à travers la création de pépinières dans 13 wilayas concernées par ce projet, vise à garantir la continuité des plantations et le développement des espèces végétales locales, dans le cadre de la stratégie nationale d’expansion des superficies forestières et plantées. Le directeur général des forêts avait inspecté, à l’entame de sa visite dans la wilaya, le projet de réalisation d’une pépinière administrative dans la commune de El-Hamma (sud de Sétif) dont les travaux ont atteint un taux d’avancement de plus de 80 %, et qui a été réalisé dans le cadre du programme d’extension du barrage vert. Une fois achevée, cette pépinière permettra de produire entre 6.000 et 1 million de plants, avec une inspection aérienne par drone de la masse forestière des montagnes de Boutaleb. Sur place, M. Touahria a reçu des explications sur la situation du secteur forestier dans la wilaya de Sétif qui compte plus de 125.000 hectares de surfaces forestières, soit environ 19,22 % de la superficie totale de la wilaya, ainsi que sur l’avancement des travaux du barrage vert qui touche 11 communes avec une superficie totale d’environ 74.000 hectares. Dans la commune de Boutaleb (sud de Sétif), le directeur général des forêts a donné le coup d’envoi d’une opération de mise en valeur de terres forestières par location sur une superficie de 20 hectares dans la région de Mestaoua, qui comprendra un puits artésien, un réservoir d’eau, 13 000 arbres fruitiers et d’autres cultures agricoles. APS The post Feux de forêt : diminution de 90% des superficies touchées en 2025 appeared first on Algerie Eco.