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Des étudiants algériens participent en Chine au programme « Huawei Seeds For the Future 2025 »

Une vingtaine d’étudiants algériens, issus de diverses universités, grandes écoles et instituts de formation professionnelle en Algérie participeront à Shenzhen (Chine) au programme « Huawei Seeds For the Future 2025 », indique samedi un communiqué de l’entreprise des télécommunications Huawei. Ces étudiants représentent plusieurs établissements relevant des ministères de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, de la Poste et des Télécommunications, ainsi que de la Formation et de l’Enseignement Professionnels, précise la même source. Cette sélection fait suite à une formation en ligne intensive de plus d’une semaine, ayant rassemblé 56 étudiants, encadrés par des experts algériens et chinois spécialisés dans les technologies de l’information et de la communication (TIC), ainsi que dans l’entrepreneuriat, ajoute le communiqué. Les 20 meilleurs candidats ont obtenu les résultats requis à un examen final, leur permettant de participer à un voyage en Chine, précise la même source. Ces étudiants se trouvent depuis vendredi dernier en Chine où ils effectueront une visite au siège social de Huawei, ainsi que plusieurs laboratoires de recherche et campus technologiques de l’entreprise, note la même source, relevant qu’il s’agit pour ces étudiants d’une occasion de découvrir les dernières innovations dans les TIC et de nouer des liens avec des professionnels et chercheurs du secteur. Huawei continue de soutenir la formation des étudiants et talents algériens à travers ses différents programmes afin de « garantir un écosystème développé dans le domaine des TIC », conclut le communiqué. APS The post Des étudiants algériens participent en Chine au programme « Huawei Seeds For the Future 2025 » appeared first on Algerie Eco.

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Knauf Algérie : Plus de 7 millions de m² de plaques de plâtre exportés vers l’Afrique

L’usine Knauf Algérie, située dans la commune de Benfreha (Oran), a exporté, depuis le début de l’année, plus de 7 millions de mètres carrés de plaques de plâtre vers plusieurs pays africains, a fait savoir, samedi, l’entreprise. Dans une déclaration en marge de la 22e édition du Salon international de l’immobilier, de la construction, de l’habitat, des travaux publics et de la céramique « BatiWest 2025 », qui se poursuit au Centre des conférences « Mohamed Benahmed » à Oran, Nassima Belkheir, responsable de la formation, citée par l’APS, a précisé que ces produits ont été exportés vers 17 pays africains, dont la Libye, la Mauritanie, la Côte d’Ivoire et la République centrafricaine, via le port d’Arzew, ainsi que par voie terrestre. Elle a souligné que cette dynamique s’inscrit dans le cadre du soutien de l’Etat à l’exportation hors hydrocarbures. Knauf Algérie ambitionne de poursuivre ses opérations d’exportation vers d’autres pays africains et de pénétrer de nouveaux marchés. L’usine produit annuellement plus de 38 millions de mètres carrés de plaques de plâtre, 600.000 tonnes de plâtre, ainsi que des profilés métalliques pour le secteur du bâtiment, le tout 100% fabriqué par des compétences algériennes, a-t-elle indiqué. Par ailleurs, l’entreprise assure, chaque année, en partenariat avec des universités, centres de formation et associations, la formation de plus de 2.500 stagiaires -architectes, artisans et autres professionnels souhaitant se perfectionner dans les systèmes de construction innovants-. Ces formations ont lieu dans trois centres situés à Oran, Setif et Alger, en plus d’une caravane mobile qui sillonne les 58 wilayas pour soutenir les professionnels du secteur du bâtiment, a ajouté Mme Belkheir. A noter que Knauf Algérie expose, durant ce salon de cinq jours, une gamme complète de systèmes destinés au secteur de l’habitat, aussi bien pour les nouveaux projets que pour les travaux de rénovation, des produits qui étaient auparavant importés. Pour rappel, le Salon international de l’immobilier, de la construction, de l’habitat, des travaux publics et de la céramique réunit près de 120 exposants, nationaux et internationaux. The post Knauf Algérie : Plus de 7 millions de m² de plaques de plâtre exportés vers l’Afrique appeared first on Algerie Eco.

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Services consulaires : de nouvelles mesures pour la diaspora algérienne

L’Algérie renforce son dispositif consulaire pour ses citoyens résidant à l’étranger. Le gouvernement annonce la généralisation des permanences consulaires itinérantes. Cette mesure vise à rapprocher les services administratifs des membres de la diaspora éloignés des sièges diplomatiques. Selon un communiqué du ministère des Affaires étrangères publié ce samedi 18 octobre 2025, le secrétaire d’État chargé de la Communauté nationale à l’étranger, Sofiane Chaïb, a animé une visioconférence avec des ressortissants algériens établis dans la région de Hambourg, en Allemagne. Ce dialogue virtuel, une première sous cette forme, s’est tenu en présence de l’ambassadeur d’Algérie en Allemagne. L’échange s’est déroulé dans le cadre d’une permanence consulaire mobile organisée par l’ambassade d’Algérie à Berlin. Cette initiative permettait aux citoyens de participer à la rencontre tout en bénéficiant des services consulaires itinérants. Le communiqué précise que cette initiative a permis un dialogue direct entre les autorités consulaires et la communauté algérienne locale. Les participants ont exprimé leurs préoccupations et suggestions concernant les services consulaires. Cette approche répond à la volonté des autorités de maintenir un contact régulier avec les citoyens algériens établis hors du territoire national. Le déploiement des permanences consulaires mobiles Le secrétaire d’État a indiqué avoir donné des instructions aux chefs de postes diplomatiques pour généraliser le système des permanences consulaires mobiles. Cette mesure concerne l’ensemble des représentations diplomatiques algériennes à travers le monde. L’objectif est de rapprocher les services consulaires des lieux de résidence des citoyens algériens à l’étranger. Les services proposés lors de ces permanences incluent la délivrance de documents administratifs, l’assistance consulaire et diverses formalités administratives. Le dispositif répond aux difficultés de déplacement rencontrées par certains ressortissants vers les sièges des ambassades et consulats. Cette organisation vise à faciliter les démarches administratives pour les Algériens résidant dans des zones éloignées des capitales. Les services proposés aux Algériens Le système des permanences mobiles permet aux citoyens algériens d’accéder aux services consulaires sans effectuer de longs déplacements. La région de Hambourg illustre cette mise en œuvre, où la communauté algérienne bénéficie de ces services délocalisés. L’ambassade d’Algérie à Berlin organise ces missions itinérantes pour desservir les populations éloignées. Les formalités administratives réalisables lors de ces permanences comprennent la délivrance de passeports, de cartes nationales d’identité et de certificats de nationalité. L’assistance couvre également le traitement de questions diverses liées à la situation des ressortissants. Ce dispositif s’inscrit dans une démarche de modernisation des services consulaires algériens. Le suivi des relations avec la diaspora Le secrétaire d’Etat auprès du ministre des Affaires étrangères a rappelé l’attention que les autorités algériennes accordent à leur communauté établie à l’étranger. Sofiane Chaïb a mentionné la protection et l’accompagnement assurés par l’État algérien envers ses citoyens résidant à l’étranger. Le gouvernement s’engage à assurer un suivi continu de la situation des membres de la diaspora algérienne. Le renforcement des liens avec le pays d’origine constitue un axe de travail évoqué lors de cette visioconférence. Les échanges avec la communauté de Hambourg ont permis de recueillir des suggestions pour améliorer les services destinés aux Algériens résidant en Allemagne. Vous avez aimé cet article ? Ne ratez pas notre dernier article ! Source : ObservAlgerie

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Titres de séjour en France : les conditions vont se durcir dès 2026

À compter du 1er janvier 2026, les démarches administratives pour les étrangers souhaitant s’installer durablement en France connaîtront un changement significatif. Un nouvel examen civique deviendra obligatoire pour l’obtention des titres de séjour de longue durée et des naturalisations. Cette mesure s’inscrit dans une série de réformes engagées depuis la loi immigration de 2024. Le 10 octobre 2025, Bruno Retailleau, ex-ministre de l’Intérieur et président du parti Les Républicains, a signé un arrêté modifiant les conditions d’obtention des cartes de séjour pluriannuelles, des cartes de résident ou d’une naturalisation. Ce texte, publié au Journal officiel du 12 octobre, représente l’aboutissement réglementaire de la loi immigration portée par Gérald Darmanin et promulguée en janvier 2024. L’entourage du ministre s’est félicité de l’impact des politiques restrictives mises en œuvre, faisant état d’une baisse de 28 % des naturalisations par décret entre octobre 2024 et août 2025. Cette réforme intervient dans un contexte où la dématérialisation des procédures, initiée en 2020, a complexifié les démarches des usagers selon le Défenseur des droits. Le nouvel examen civique pour les titres de séjour L’arrêté du 10 octobre 2025 institue un questionnaire à choix multiples (QCM) de quarante questions réparties en cinq thématiques précises. Onze questions portent sur les principes et valeurs de la République, six concernent le système institutionnel et politique en France, tandis que onze autres abordent les droits et devoirs. Huit questions traitent d’histoire, de géographie et de culture, et quatre interrogent sur la vie dans la société française. Le seuil de réussite et le contenu détaillé des questions restent à préciser par instruction ministérielle. Cet examen s’appliquera à toutes les demandes de titres de séjour pluriannuels, de cartes de résident et de naturalisations déposées en France à partir du 1er janvier 2026. La mise en place de ce test intervient après plusieurs mois de concertation avec les préfectures. Réactions et critiques en France Danièle Lochak, professeure émérite de droit public et membre du Gisti, exprime des réserves dans les colonnes du journal L’Humanité. « Quand on lit l’arrêté, on se demande quel Français n’ayant pas un bac+5 serait capable de répondre aux questions », déclare-t-elle, tout en soulignant son « étonnement » face à l’instauration d’un examen pour les titres de séjour de longue durée. Le professeur Jules Lepoutre, de l’université Côte-d’Azur, précise dans Le Monde que cet « arrêté était la dernière mesure réglementaire attendue dans le sillon de cette loi ». Parallèlement, quinze associations en France, dont la Cimade et la Ligue des droits de l’homme, ont saisi en juillet 2025 le tribunal administratif de Lille pour dénoncer les dysfonctionnements des préfectures. Impact sur les démarches administratives La dématérialisation des titres de séjour, généralisée depuis 2020, a entraîné une augmentation de 400 % des réclamations selon le Défenseur des droits. Les délais de traitement dans des départements comme le Nord font l’objet de contentieux administratifs, les associations pointant des « défaillances ancrées dans le fonctionnement de la préfecture ». L’ajout de ce nouvel examen pourrait prolonger les délais déjà considérables pour l’obtention et le renouvellement des titres de séjour en France. Des situations de rupture de droits pourraient survenir en cas de non-obtention du titre avant l’expiration du précédent, entraînant la suspension des contrats de travail et des prestations sociales. Cette réforme s’inscrit dans un contexte où le gouvernement cherche à « renforcer les exigences à toutes les étapes de l’intégration des étrangers », selon l’analyse du professeur Lepoutre. Vous avez aimé cet article ? Ne ratez pas notre dernier article ! Source : ObservAlgerie

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La France tente-t-elle de renouer avec l’Algérie ?

En pleine crise diplomatique, la France a entrepris un geste symbolique pour tenter de réchauffer ses relations avec l’Algérie. Ce geste a eu lieu le 17 octobre 2025, lors de la participation de l’ambassadeur français à une cérémonie commémorative, en plein contexte de tensions entre les deux pays. Le 17 octobre 2025, l’ambassadeur de France en Algérie, Stéphane Romatet, a pris part à la commémoration des événements tragiques du 17 octobre 1961. Cette journée marque la répression violente d’une manifestation de travailleurs algériens à Paris, lors de laquelle plusieurs centaines de manifestants ont été tués par les forces de l’ordre sous l’autorité du préfet Maurice Papon. La répression a été marquée par des actes violents, et de nombreux corps ont été jetés dans la Seine. Cette commémoration s’est tenue à Bézons, en banlieue parisienne, et a permis de rendre hommage aux victimes des événements de 1961. Cette participation de l’ambassadeur français s’inscrit dans une période marquée par un refroidissement des relations diplomatiques entre Paris et Alger. L’initiative a été perçue comme un geste en faveur d’une réconciliation historique. Relations tendue entre la France et l’Algérie Les relations entre la France et l’Algérie se sont particulièrement tendues à partir de 2024, après que la France ait reconnu la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental, un dossier particulièrement sensible pour l’Algérie. Cette prise de position a provoqué une réaction d’hostilité de la part de l’Algérie et a suscité des échanges assez virulents entre les deux parties, particulièrement avec l’ex-ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau qui entendait utiliser cette brouille en perspective de la présidentielle de 2027. Entre autres, la France a rappelé son ambassadeur, Stéphane Romain, qui n’est toujours pas retourné en Algérie depuis cette crise. L’Élysée, sous la présidence d’Emmanuel Macron, a cherché à rétablir un dialogue avec l’Algérie, en mettant l’accent sur la question de la mémoire. Le passé colonial et les événements traumatiques de la guerre d’indépendance, comme les massacres du 17 octobre 1961, restent des sujets sensibles. La France a exprimé sa volonté d’ouvrir un dialogue sur ces questions pour favoriser la réconciliation entre les deux pays. En participant à cette commémoration, l’ambassadeur Stéphane Romatet a pris part à cette démarche qui semble viser à rétablir un respect mutuel sur des questions de mémoire. La France semble s’engager dans une politique de réconciliation, marquée par un respect des douleurs passées et une volonté de reconstruire les relations diplomatiques avec l’Algérie. Vers un retour à la normale ? Les relations franco-algériennes se jouent également sur le terrain de la coopération régionale, particulièrement dans les domaines de la sécurité et de la lutte contre le terrorisme, des défis communs pour les deux pays. Si le passé historique reste un obstacle majeur, des enjeux contemporains pourraient favoriser une reprise des échanges diplomatiques. L’ambassadeur Stéphane Romatet, par sa présence à cette cérémonie, a envoyé un signal sur l’importance accordée par la France à la réconciliation, mais la situation reste complexe. La France devra continuer ses efforts pour apaiser les tensions et relancer un dialogue fructueux avec l’Algérie. Vous avez aimé cet article ? Ne ratez pas notre dernier article ! Source : ObservAlgerie

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Fin du cash en Algérie, une date est fixée

L’Algérie a fixé une échéance pour une transition vers un système de paiement totalement numérique, avec l’objectif de supprimer l’usage du cash d’ici 2028. Cette annonce a été faite par Salah Eddine Taleb, Gouverneur de la Banque d’Algérie, lors d’une déclaration officielle. Ce projet vise à encourager une économie plus moderne et numérique, en phase avec les tendances mondiales. Dans le cadre de la mise en place de ce système, la Banque d’Algérie a révélé que d’ici 2028, les transactions sans argent liquide devraient être la norme. Le projet fait partie d’une initiative plus large, menée par le Comité national des paiements (CNP), qui regroupe plusieurs institutions financières, dont la Banque d’Algérie et Algérie Poste, ainsi que des acteurs des secteurs bancaires et de sécurité. Le passage à une économie numérique a été encouragé par la loi monétaire et bancaire de 2023, qui a permis l’entrée de nouveaux acteurs sur le marché des paiements numériques, notamment des prestataires de services de paiement, des banques digitales, et des banques islamiques. En parallèle, une monnaie numérique de banque centrale est en préparation. Les mécanismes pour remplacer le cash Le passage au paiement numérique implique plusieurs réformes structurelles, notamment dans le domaine des infrastructures financières. Salah Eddine Taleb a précisé que l’adaptation des capacités humaines et technologiques de la Banque d’Algérie est indispensable pour mener à bien cette transition. Cette évolution permettra de réduire l’utilisation du cash et de renforcer les transactions électroniques sécurisées. Le projet vise également à améliorer la traçabilité des paiements, limitant ainsi les risques associés à l’argent liquide, tels que le blanchiment d’argent et la fraude fiscale. La numérisation des paiements pourrait aussi réduire les coûts liés à l’émission et à la gestion de l’argent liquide, un élément non négligeable pour l’économie nationale. Un projet en accord avec les tendances mondiales La décision de supprimer progressivement le cash en Algérie s’inscrit dans une dynamique globale de numérisation des paiements. De nombreux pays à travers le monde ont entrepris des réformes similaires pour réduire leur dépendance au liquide. En ce sens, l’Algérie fait le choix de suivre cette évolution, en introduisant des moyens de paiement alternatifs, accessibles à une large population. Bien que des défis subsistent, notamment en ce qui concerne l’accès à la technologie dans les régions éloignées et l’adaptation des habitudes de consommation, la Banque d’Algérie et le Comité national des paiements s’efforcent d’accompagner cette transition voulue de manière progressive, afin d’assurer son succès. L’objectif de cette initiative est donc clair : rendre les transactions plus sûres, plus transparentes, et plus efficaces, en accord avec les pratiques bancaires modernes et en phase avec l’évolution technologique globale. Ce n’est pas le cas tant que le cash subsiste dans le paiement des transactions commerciales. Vous avez aimé cet article ? Ne ratez pas notre dernier article ! Source : ObservAlgerie

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L’Algérie achète une importante quantité de blé dur

L’Algérie a procédé à l’acquisition d’un volume substantiel de blé dur via un appel d’offres international. Cette transaction s’inscrit dans le cadre de l’approvisionnement régulier du pays en céréales.  L’Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC) a finalisé l’acquisition d’environ 400’000 tonnes de blé dur. Cette transaction résulte d’un appel d’offres international clos mercredi 15 octobre 2025. L’information a été confirmée le lendemain jeudi par des négociants européens cités par l’agence Reuters. Le volume acquis dépasse significativement la quantité initialement sollicitée dans l’appel d’offres, qui portait sur 50’000 tonnes. Selon les professionnels du secteur, cette pratique correspond au mode habituel d’approvisionnement de l’Algérie, qui a tendance à acquérir des volumes supérieurs à ceux initialement annoncés. Les conditions commerciales et les origines des cargaisons Le prix d’achat est estimé à environ 324 dollars américains la tonne pour les cargaisons de type Panamax, qui correspondent à des navires de grande capacité. Pour les expéditions plus modestes de type Handymax, le prix s’élève à près de 334 dollars américains la tonne, selon les mêmes sources professionnelles. Ces montants incluent le coût du transport maritime. Environ 90’000 tonnes de ce blé dur proviendraient des États-Unis. La majeure partie du reste de la cargaison serait constituée de blé dur ambré canadien de type 3, également commercialisé sous l’appellation No.3 CWAD sur les marchés internationaux de céréales. Le calendrier et les modalités de livraison Le programme de livraison s’échelonne sur les mois de novembre et décembre 2025 selon un calendrier défini. La première période de livraison est programmée entre le 1er et le 15 novembre 2025. La seconde fenêtre de livraison couvre la période du 16 au 30 novembre 2025. Les deux dernières phases du plan de livraison s’étendent du 1er au 15 décembre 2025, puis du 16 au 31 décembre 2025. Cette répartition en quatre périodes distinctes permet une gestion planifiée des arrivées des cargaisons dans les ports algériens. Le contexte national et les perspectives agricoles L’Algérie ne diffuse pas officiellement les résultats de ses appels d’offres pour l’importation de céréales. Les informations disponibles proviennent donc des estimations communiquées par les négociants internationaux. Des précisions supplémentaires concernant les volumes exacts et les prix définitifs pourraient être fournies ultérieurement. Lors de la campagne de moisson-battage pour les wilayas du nord et des hauts-plateaux en juin 2024, l’ancien ministre de l’Agriculture Youcef Cherfa avait indiqué que la production de blé dur attendue pour la saison agricole 2025 permettrait d’assurer l’autosuffisance nationale. Le ministre avait anticipé une production abondante et envisagé l’arrêt des importations de blé dur à compter de 2026. Vous avez aimé cet article ? Ne ratez pas notre dernier article ! Source : ObservAlgerie

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Santé : Ait Messaoudene souligne l’importance de la mise en œuvre du dossier électronique du patient

Le ministre de la Santé, Mohamed Seddik Ait Messaoudene, a souligné l’importance de la mise en œuvre du « dossier électronique du patient », qui constitue un axe central du processus de transformation numérique du secteur et l’un de ses principaux objectifs à atteindre avant la fin de l’année en cours, indique, vendredi, un communiqué du ministère. Lors de l’ouverture d’une réunion sur « la numérisation du dossier électronique du patient », qu’il a coprésidée, jeudi, avec le ministre de l’Industrie pharmaceutique, M. Ouacim Kouidri, le ministre de la Santé a précisé, selon l’APS, que ce projet permettra d’« uniformiser les données médicales et d’éviter la répétition des examens et des analyses », tout en contribuant à « améliorer le suivi des patients, à réduire les délais, à optimiser les ressources et à renforcer les méthodes de gestion et la coordination entre les différentes structures de santé ». M. Ait Messaoudene a également mis en avant l’importance capitale du « numéro d’identification national du patient », en tant qu’« outil stratégique garantissant la précision et l’intégrité des données à travers les réseaux de santé ». Ces mécanismes modernes constituent, a-t-il ajouté, « un pilier essentiel pour la mise en place d’un système de santé efficace, fondé sur une gestion intelligente et transparente, assurant la disponibilité des médicaments et une meilleure prise en charge des patients ». Soulignant que l’Etat « a mobilisé tous les moyens matériels et humains nécessaires pour garantir la transition effective vers un système de santé numérique intégré », M. Ait Messaoudene a appelé à « une exploitation optimale de ces moyens afin assurer une meilleure prise en charge des patients dans les différents établissements ». Il a estimé que « l’aboutissement du projet de numérisation constitue une réussite pour l’ensemble du système de santé ». The post Santé : Ait Messaoudene souligne l’importance de la mise en œuvre du dossier électronique du patient appeared first on Algerie Eco.

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Les pluies continueront d’affecter plusieurs wilayas jusqu’à dimanche

Des pluies parfois sous forme d’averses orageuses, accompagnées localement de chutes de grêle avec des rafales de vent sous orages, continueront d’affecter plusieurs wilayas du pays jusqu’à dimanche, indique un bulletin météorologique spécial (BMS), émis samedi par l’Office national de météorologie. De niveau de vigilance « Orange », ce BMS concerne les wilayas de Souk Ahras, Khenchela, Oum El Bouaghi, Batna, Tébessa, Biskra, Ouled Djellal, El Meghaïer, Touggourt, et le nord d’El Oued, avec des quantités de pluies estimées entre 20 et 30 mm, atteignant ou dépassant 40 mm notamment sur la région des Aurès, jusqu’à dimanche à 06h00 du matin, précise la même source. Le BMS concerne également les wilayas de Ghardaïa, Laghouat, Djelfa, M’sila, Bordj Bou Arreridj, Sétif, Mila, Constantine, Guelma, El Tarf, Annaba, Skikda, Jijel, Bejaia et Tizi Ouzou, avec des quantités de pluies oscillant entre 20 et 30 mm, samedi entre 12h00 à 23h00. APS The post Les pluies continueront d’affecter plusieurs wilayas jusqu’à dimanche appeared first on Algerie Eco.

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Air Algérie Cargo : Nouvelles modalités de règlement des opérations à l’export

Air Algérie Cargo a décidé de nouvelles modalités de règlement des opérations à l’export, en vigueur depuis le 1er octobre 2025. Seuls les paiements en espèces, par chèques de banque certifiés ou par carte CIB seront acceptés. Les chèques simples ne seront plus pris en compte. Dans une note de service datée du 21 septembre dernier, la filiale d’Air Algérie a informé que « de nouvelles règles de règlement seront applicables à toutes les opérations à l’export à compter du 1er octobre 2025 ». La même source a précisé que les moyens de paiement acceptés sont les espèces, les chèques de banque certifiés et la carte CIB. En revanche, les moyens de paiement refusés sont les chèques simples (non certifiés). « Ces dispositions entreront en vigueur le 1er octobre 2025 et seront appliquées sans exception », souligne Air Algérie Cargo et d’ajouter : « Nous vous remercions pour votre compréhension et votre collaboration dans le respect de ces nouvelles mesures. » The post Air Algérie Cargo : Nouvelles modalités de règlement des opérations à l’export appeared first on Algerie Eco.

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Diphtérie à Skikda : Cinq cas confirmés dont deux décès

Le ministère de la Santé a annoncé, vendredi 17 octobre dans un communiqué, l’enregistrement de « cinq (05) cas confirmés de diphtérie (communément appelée croup) au niveau de la wilaya de Skikda », précisant que parmi ces cas figurent « deux décès, un homme de nationalité étrangère âgé de 25 ans et une fillette de 12 ans non vaccinée contre cette maladie ». Dès la détection des cas, une « cellule de crise a été mise en place au niveau de la direction de la santé et de la population de la wilaya de Skikda », afin de suivre de près la situation épidémiologique et de « prendre toutes les mesures préventives et sanitaires nécessaires en coordination avec les autorités locales ». Les services de santé ont entamé des « enquêtes épidémiologiques approfondies » autour des cas enregistrés. Les personnes ayant été en contact avec les malades ont bénéficié d’un « traitement préventif (chimioprophylaxie) » et d’une vaccination contre la diphtérie pour limiter la propagation du virus et éviter l’apparition de nouveaux cas. Dans le cadre de cette action, « 514 personnes ont été vaccinées au cours des 48 dernières heures », dans le cadre d’une campagne de vaccination préventive conduite par les équipes sanitaires locales sous la supervision de la cellule de crise. Le ministère assure que « la situation est stable » et que le suivi sur le terrain se poursuit « de manière rigoureuse et quotidienne », à travers le renforcement de la surveillance épidémiologique dans l’ensemble des structures de santé de la wilaya. Les cas recensés sont pris en charge « selon les protocoles thérapeutiques en vigueur ». Le ministère rappelle enfin l’importance de « respecter le calendrier vaccinal », soulignant que « la vaccination demeure le moyen le plus efficace et le plus approprié pour se protéger contre la diphtérie et les maladies infectieuses ». Les vaccins, précise-t-il, sont disponibles dans « toutes les structures sanitaires ». En conclusion, le ministère de la Santé affirme suivre « de près l’évolution de la situation sanitaire à Skikda » et se dit « mobilisé pour assurer la sécurité des citoyens et protéger la santé publique », tout en préparant une « campagne de sensibilisation sur l’importance de la vaccination et la prévention des maladies infectieuses ». The post Diphtérie à Skikda : Cinq cas confirmés dont deux décès appeared first on Algerie Eco.

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L’Algérie s’impose comme l’alternative européenne au gaz russe

Le paysage énergétique européen connaît une transformation significative depuis les restrictions appliquées aux importations de gaz russe. L’Algérie émerge progressivement comme un fournisseur essentiel pour combler ce déficit. Ses infrastructures existantes et ses capacités d’exportation positionnent le pays en partenaire privilégié pour assurer la sécurité énergétique du Vieux Continent. La guerre en Ukraine et les sanctions européennes contre le gaz russe ont modifié la carte énergétique du continent. L’Italie et l’Espagne ont accru leurs importations depuis l’Algérie, qui dispose d’infrastructures de transport déjà opérationnelles. Le pays représente désormais le deuxième exportateur de gaz par pipeline vers l’Union européenne. Les gazoducs TransMed, reliant l’Algérie à l’Italie, et Medgaz, connectant le territoire algérien à l’Espagne, offrent une capacité combinée de plus de 40 milliards de mètres cubes par an. Cette capacité n’est actuellement pas utilisée dans sa totalité. Les terminaux de GNL d’Arzew et de Skikda complètent ce dispositif en permettant des exportations vers d’autres pays européens. Les perspectives de croissance des exportations algériennes L’Algérie a exporté 55 milliards de mètres cubes de gaz vers l’Europe en 2024, selon les données de l’Agence internationale de l’énergie (AIE) citées par le média Afrik.com. Les projections indiquent que ces exportations pourraient atteindre 60 à 65 milliards de mètres cubes d’ici 2030. Cette progression représenterait une augmentation de 10 à 15 % par rapport aux niveaux actuels. Cette croissance s’appuierait principalement sur une optimisation des infrastructures existantes. Le gazoduc TransMed pourrait voir sa capacité portée de 21 à près de 30 milliards de mètres cubes par an vers l’Italie. Medgaz maintiendrait son débit proche de sa capacité maximale de 10 milliards de mètres cubes. Les exportations de GNL algérien vers l’Europe atteindraient quant à elles près de 20 milliards de mètres cubes. L’avantage environnemental du gaz algérien Le transport du gaz algérien par pipeline génère des émissions de CO₂ inférieures de 40 % à celles du gaz naturel liquéfié américain. Cet écart s’explique par la distance réduite et l’absence des processus de liquéfaction et de regazéification nécessaires au GNL. Le coût économique de ce mode de transport apparaît également moins élevé. L’Algérie maintient sa deuxième place de fournisseur par gazoduc de l’Europe en Février. L’Italie est la 1ère destination du gaz algérien. En février : 62,6 millions m³/jour livrés (+3,5% vs janvier) via les gazoducs Sonatrach vers l’Italie et l’Espagne. pic.twitter.com/WdOw3qfZQ3 — Algeria INVEST® (@Algeria_invest1) March 18, 2025 Le cycle complet du GNL, incluant la liquéfaction, le transport maritime et la regazéification, multiplie les émissions de gaz à effet de serre. Les fuites de méthane tout au long du processus accentuent l’empreinte carbone de cette énergie. Pour l’Europe, qui doit respecter ses engagements climatiques, le gaz par pipeline algérien présente des caractéristiques environnementales plus favorables. Position stratégique de l’Algérie L’Union européenne recherche des fournisseurs stables, géographiquement proches et compatibles avec ses objectifs climatiques. L’Algérie remplit ces critères grâce à sa position géographique et ses infrastructures existantes. Le pays pourrait devenir d’ici 2030 un acteur central dans l’approvisionnement énergétique de l’Europe méridionale. Les perspectives de croissance des exportations algériennes ne nécessitent pas d’investissements lourds dans de nouvelles infrastructures. L’optimisation des flux actuels et la maintenance des installations existantes suffiraient à atteindre ces objectifs. Cette situation place l’Algérie en position de répondre rapidement aux besoins européens tout en participant aux objectifs de transition énergétique. Vous avez aimé cet article ? Ne ratez pas notre dernier article ! Source : ObservAlgerie

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