Le Premier ministre, Sifi Ghrieb, a présidé, ce jeudi, à Chlef, la cérémonie de signature de conventions relatives au lancement officiel de l’opération d’importation de 10.000 bus neufs, conformément au cahier des charges établi par la commission interministérielle (ministère de l’Industrie et ministère de l’Intérieur, des Collectivités locales et des Transports). Une démarche qui s’inscrit dans le cadre de la concrétisation des mesures décidées par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, pour l’importation de 10.000 bus neufs et le retrait du parc national de tous les bus de transport de voyageurs vétustes de plus de 25 ans de service pour les remplacer par des véhicules neufs, rapporte l’APS. Des autorisations d’importation ont été remises à trois opérateurs nationaux. Il s’agit de l’Entreprise de développement industriel et de véhicules (EDIV), relevant du ministère de la Défense nationale, de la société Tirsam, basée à Batna, et de Peng Pu Algérie, installée à Chlef et spécialisée dans l’assemblage de camions et bus de la marque sud-coréenne Daewoo, selon le média TSA. La cérémonie s’est tenue au siège de la wilaya de Chlef, en présence notamment du ministre de l’Intérieur et des Transports, Saïd Sayoud, et du ministre de l’Industrie, Yahia Bachir. Le Premier ministre a précisé que « nous avons tenu à ce que cette opération bénéficie d’abord aux industriels locaux pour garantir par la suite la chaîne d’approvisionnement en ce qui concerne la pièce de rechange, la maintenance et globalement le service après-vente ». Selon un responsable du ministère de l’Industrie, Mohamed Mostefai, « s’il y avait d’autres opérateurs, ils auraient eu eux aussi des autorisations d’importation », soulignant que les trois entreprises sélectionnées sont actuellement les seules à produire des bus et des camions en Algérie. En marge de cette cérémonie, des mémorandums d’entente ont été signés entre les trois constructeurs et une quinzaine de sous-traitants locaux, sous la coordination de la Bourse algérienne de la sous-traitance et du partenariat Ouest (BSTPO). Ces accords visent à « augmenter le taux d’intégration nationale dans le domaine de l’industrie mécanique et à étendre cette expérience à d’autres produits à l’avenir ». Le Premier ministre a déclaré à ce sujet : « Nous avons veillé à aller vers une industrie véritable avec un environnement qui renferme tous les segments de la sous-traitance. À partir de là, nous pouvons dire que nous avons mis les fondements pour une véritable industrie mécanique en Algérie. » Par ailleurs, le projet de Loi de finances (PLF) pour 2026 propose d’exonérer de « tous les droits et taxes y compris le droit additionnel provisoire de sauvegarde, la contribution de solidarité et le précompte » les véhicules importés destinés au « transport de dix personnes ou plus, chauffeurs inclus », dans la limite des 10.000 unités prévues. The post Importation de 10.000 bus : des autorisations remises à trois opérateurs appeared first on Algerie Eco.

Dans la wilaya de Skikda, à l’est de l’Algérie, un décès lié à la maladie de la diphtérie a été enregistré, ainsi que plusieurs cas « compliqués » dont le nombre exact n’a pas été communiqué, selon la direction locale de la Santé et de la population. Dans un communiqué publié jeudi 16 octobre sur les réseaux sociaux, la direction de la Santé a expliqué que « les symptômes de cette maladie débutent par un mal de gorge, des difficultés à avaler et de la fatigue. En l’absence de traitement, les symptômes s’aggravent et le patient peut développer des complications cardiaques et neurologiques pouvant entraîner la mort ». Face à cette situation, les autorités sanitaires locales rappellent que la vaccination est « considérée comme la méthode de prévention la plus efficace » contre la diphtérie, aussi bien sur le « plan personnel » que sur le « plan social ». La direction de la Santé de Skikda a lancé un appel à la population, notamment aux habitants des communes de Skikda et de Felfela, les invitant à se rendre dans les centres de vaccination. Elle encourage les adultes à recevoir une dose de rappel et les parents à « amener leurs enfants pour compléter leurs vaccinations conformément au programme national de vaccination élargi ». The post Diphtérie : un décès et des cas compliqués signalés à Skikda appeared first on Algerie Eco.

Le groupe Sonatrach et la société nationale mozambicaine Empresa Nacional de Hidrocarbonetos, E.P. (ENH) ont signé, jeudi, un protocole d’entente portant sur « la promotion de la coopération bilatérale dans le secteur pétrolier et gazier au Mozambique, sur la base des principes d’égalité, de réciprocité et d’avantages mutuels », selon un communiqué du groupe algérien. L’accord a été paraphé par le PDG de Sonatrach, Rachid Hachichi, et la présidente du Conseil d’administration d’ENH, Ludovina Bernardo, lors d’une cérémonie organisée au ministère des Minerais et de l’Énergie du Mozambique. La signature s’est déroulée en présence du ministre algérien de l’Énergie et des Énergies renouvelables, Dr. Mourad Adjal, en visite de travail dans ce pays. D’après Sonatrach, « le protocole d’entente définit les domaines d’intérêt commun et porte particulièrement sur la coopération dans le cadre de projets d’exploration et de production des hydrocarbures au Mozambique, qui s’étend aux activités Transport et Aval, ainsi qu’aux prestations de service tout au long de la chaîne de valeur. » L’accord comprend également l’étude « de la faisabilité du raccordement du réseau de distribution de gaz naturel à la consommation des ménages. » Il prévoit aussi « de renforcer les capacités techniques des employés de la Société mozambicaine ENH par le partage de connaissances dans les domaines de la géologie, de l’ingénierie et des opérations pétrolières, et à travers des formations assurées par Sonatrach. » Ce partenariat marque, selon le communiqué, « une avancée dans le processus de coopération énergétique entre l’Algérie et le Mozambique », et reflète « l’ambition de Sonatrach visant à étendre ses activités à l’échelle continentale en tant qu’acteur majeur dans le secteur énergétique. » La société Empresa Nacional de Hidrocarbonetos, E.P. (ENH) a pour mission « de promouvoir la valorisation des hydrocarbures liquides et gazeux en République du Mozambique et ce, sur l’ensemble de la chaîne de valeur des hydrocarbures. » The post Sonatrach signe un protocole d’entente avec la société mozambicaine ENH appeared first on Algerie Eco.

Les prix du pétrole ont reculé jeudi, accentuant une baisse déjà amorcée, après un entretien téléphonique entre Donald Trump et Vladimir Poutine. Le président américain a indiqué que « de grands progrès ont été faits » au cours de cette discussion. Le baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en décembre, a terminé à 61,06 dollars, en baisse de 1,37%. De son côté, le baril de West Texas Intermediate (WTI), pour livraison en novembre, a cédé 1,39% à 57,46 dollars. Selon John Kilduff, analyste chez Again Capital, le marché surveille de près « tout accord de paix » potentiel entre la Russie et l’Ukraine. Ce type d’évolution politique influence directement les anticipations des investisseurs sur l’offre mondiale de pétrole. Donald Trump a annoncé qu’il rencontrerait prochainement le président russe Vladimir Poutine à Budapest (Hongrie), sans préciser la date. Le Kremlin a qualifié l’échange entre les deux dirigeants d’« extrêmement franc et empreint de confiance ». Depuis plusieurs semaines, le président américain appelle ses alliés à cesser d’importer du pétrole russe et à sanctionner les pays qui continuent à le faire. Cette position contribue à maintenir un niveau de prix élevé sur les marchés internationaux. Un retour plus important du pétrole russe sur le marché mondial pourrait en revanche peser sur les cours, la Russie figurant parmi les principaux producteurs de brut dans le monde. En parallèle, les dernières données de l’Agence américaine d’information sur l’énergie (EIA) ont renforcé la tendance baissière. Les stocks de pétrole aux États-Unis ont augmenté de façon inattendue la semaine dernière, en raison d’une baisse d’activité dans les raffineries, qui entrent dans leur période annuelle d’entretien. Cette baisse d’activité a conduit à une accumulation des réserves de brut. Par ailleurs, la demande en produits pétroliers a reculé : les livraisons totales se sont établies à 19,73 millions de barils par jour, repassant sous la barre des 20 millions. La demande d’essence, indicateur clé pour le marché américain, a diminué de 5,2%. The post Le pétrole chute après l’appel entre Trump et Poutine appeared first on Algerie Eco.

Les exportations algériennes de gaz naturel liquéfié (GNL) ont connu un recul marqué au troisième trimestre 2025. Cette baisse s’explique par un ensemble de facteurs à la fois structurels et conjoncturels, et s’inscrit dans une tendance de fond observée depuis le début de l’année. Plusieurs éléments techniques et opérationnels ont contribué à cette contraction des volumes exportés. Entre juillet et septembre 2025, les exportations algériennes de GNL ont atteint 2,13 millions de tonnes, selon les données de l’unité de recherche énergétique, citées ce jeudi 16 octobre par le média spécialisé Attaqa. Ce volume représente une diminution de 480 000 tonnes par rapport au troisième trimestre 2024, ce qui correspond à un recul de 18,4 % sur un an. La comparaison avec le trimestre précédent montre également une baisse de 420 000 tonnes par rapport aux 2,55 millions de tonnes exportées au deuxième trimestre 2025. Sur l’ensemble des neuf premiers mois de 2025, les exportations se sont établies à 6,92 millions de tonnes. Ce chiffre marque une diminution de 1,94 million de tonnes par rapport à la même période de 2024, où les exportations avaient atteint 8,86 millions de tonnes. Le mois de janvier 2025 a enregistré le niveau le plus bas avec 0,39 million de tonnes, tandis que mars 2025 a connu le pic avec 1,12 million de tonnes. Les facteurs expliquant ce recul Plusieurs éléments techniques et opérationnels ont contribué à cette baisse des exportations algériennes. Ahmed Chawki, directeur de l’unité de recherche énergétique basée à Washington, a identifié trois causes principales. La première raison concerne l’augmentation des volumes de gaz destinés aux centrales électriques nationales pour faire face à une demande estivale record. Cette orientation a réduit les quantités disponibles pour les installations de liquéfaction. La deuxième cause réside dans les interruptions techniques survenues dans les installations d’Arzew. Plusieurs arrêts pour maintenance ont empêché le fonctionnement à capacité normale de ces infrastructures gazières. Parallèlement, face à ces contraintes techniques, l’Algérie a augmenté ses exportations par gazoducs vers l’Europe par rapport à l’année précédente, affectant d’autant les volumes disponibles pour le GNL. Répartition géographique des exportations algériennes Les six pays européens destinataires du GNL algérien au troisième trimestre 2025 présentent des évolutions contrastées. La Turquie reste le premier client avec 0,63 million de tonnes, bien que ses importations aient baissé de 310 000 tonnes par rapport au troisième trimestre 2024. La France se positionne en deuxième place avec 0,52 million de tonnes, en recul de 360 000 tonnes sur un an. L’Italie apparaît comme le seul marché en croissance significative avec 0,47 million de tonnes, soit une augmentation de 240 000 tonnes par rapport à la même période de 2024. L’Espagne a importé 0,32 million de tonnes, en légère progression de 30 000 tonnes. Le Royaume-Uni et la Croatie ont respectivement reçu 0,14 million et 0,06 million de tonnes durant cette période. Vous avez aimé cet article ? Ne ratez pas notre dernier article ! Source : ObservAlgerie

Les exportations algériennes hors hydrocarbures ont affiché une progression notable au cours des sept premiers mois de l’année 2025. Cette tendance positive se confirme à travers les chiffres officiels qui font état d’une croissance significative dans plusieurs secteurs économiques. Intervenant mercredi 15 octobre sur les ondes de la Chaîne 1 de la radio algérienne, Abdelatif El Houari, directeur par intérim des mécanismes de soutien à l’exportation au ministère du Commerce extérieur et de la Promotion des exportations, a présenté ces chiffres. Le responsable a indiqué que les exportations hors hydrocarbures ont augmenté de 23 % entre janvier et juillet 2025, par rapport à la même période de l’année 2024. Cette progression s’inscrit, selon lui, dans la stratégie gouvernementale de diversification des sources de revenus d’exportation. Le secteur des engrais et produits chimiques a atteint environ 1,5 milliard de dollars, ce qui représente une augmentation de 9 %. Les matériaux de construction et la céramique ont progressé de 11 %, atteignant 560 millions de dollars. Selon l’invité de la radio algérienne, ces performances témoignent de la compétitivité croissante des produits algériens sur les marchés internationaux. La croissance sectorielle détaillée Les exportations des carrières et des mines ont augmenté de 14 %, tandis que celles de l’industrie alimentaire et des produits agricoles ont progressé de 13 %. Le secteur des appareils électriques et électroménagers a enregistré la plus forte croissance avec une hausse de 36 % durant la période de janvier à juillet 2025. « Ces chiffres illustrent la diversification progressive des exportations algériennes » précise le responsable au ministère du Commerce extérieur. Selon Abdelatif El Houari, les autorités prévoient d’atteindre un volume d’exportations hors hydrocarbures de 5 milliards de dollars d’ici la fin de l’année 2025. Cet objectif s’appuie sur les contrats commerciaux signés lors de différentes participations internationales, qui ont dépassé 80 contrats depuis le début de l’année. La stratégie de promotion active des produits algériens produit ainsi des résultats concrets. La répartition géographique des exportations Les exportations algériennes vers l’Europe ont augmenté de 21 %, celles vers les Amériques ont progressé de 11 % et les ventes vers l’Asie ont connu une hausse de 31 %. Les marchés espagnol, italien et brésilien ont particulièrement performé avec des augmentations respectives de 205 millions de dollars, 162 millions de dollars et 156 millions de dollars, détaille le même responsable. En Afrique, les exportations hors hydrocarbures sont restées stables, mais des augmentations significatives sont anticipées suite aux contrats conclus lors de la Foire commerciale intra-africaine (IATF 2025) tenue en Algérie du 4 au 10 septembre 2025. Selon Abdelatif El Houari, les autorités travaillent à l’amélioration des infrastructures logistiques pour renforcer les échanges avec le continent africain. Les mécanismes de soutien et perspectives Le gouvernement algérien a mis en place plusieurs mesures de soutien aux exportateurs, notamment via l’article 123 de la loi de finances 2024 qui a relancé le compte spécial pour la promotion des exportations, ajoute-t-il. Ce fonds couvre 80 % des coûts de participation aux foires internationales, incluant la location d’espaces, la conception de stands et l’équipement d’exposition. Les premières compensations ont commencé à être versées en octobre 2025. Le directeur par intérim a indiqué que des accords ont été conclus avec des compagnies de transport international et des entreprises publiques relevant du ministère des Transports, notamment Air Algérie, la Compagnie nationale de navigation maritime et l’Entreprise publique de transport terrestre. Ces partenariats permettent aux exportateurs de bénéficier de réductions allant jusqu’à 50 % sur les factures de transport international, précise Abdelatif El Houari. Ces mesures visent à renforcer la compétitivité des produits algériens à l’étranger, ajoute-t-il. Vous avez aimé cet article ? Ne ratez pas notre dernier article ! Source : ObservAlgerie

La Tunisie confirme son attractivité touristique avec une performance notable sur les huit premiers mois de l’année 2025. Les visiteurs algériens constituent le premier contingent de touristes étrangers accueillis par le pays, selon les récentes données. Cette tendance s’inscrit dans une dynamique globale de croissance qui dépasse désormais les niveaux enregistrés avant la pandémie de Covid-19. Entre janvier et août 2025, la Tunisie a accueilli 7 162 936 visiteurs, selon les chiffres du l’Office national du tourisme tunisien (ONTT) cités ce jeudi 16 octobre par le média tunisien La Presse. Ce total représente une progression de 8,3 % par rapport à la même période de 2024 et une hausse de 13,8 % par rapport à l’année 2019, référence précédant la crise sanitaire. Les non-résidents étrangers représentent 6 124 000 visiteurs, soit 85,5 % de l’ensemble des arrivées. Les Tunisiens résidant à l’étranger ont effectué 1 038 936 retours au pays durant les huit premiers mois de l’année en cours. Ce chiffre marque une augmentation de 7,6 % par rapport à 2024, tout en restant légèrement inférieur au niveau de 2019, avec un écart de 2,2 %. La fréquentation globale démontre un rétablissement solide du secteur touristique tunisien. La prédominance des visiteurs maghrébins Les touristes en provenance du Maghreb constituent le groupe le plus important avec 3,72 millions d’entrées, représentant 52 % du total des arrivées. Cette catégorie enregistre une croissance de 8 % par rapport à 2024 et de 21,2 % par rapport à 2019. Les visiteurs algériens forment le premier contingent maghrébin avec 2,11 millions de visiteurs entre janvier et août 2025. Les Libyens occupent la deuxième position parmi les touristes maghrébins avec 1,55 million d’arrivées, affichant une progression de 22,9 % sur un an. Les Marocains et les Mauritaniens présentent également des évolutions positives, bien que plus modérées dans leur croissance. La région maghrébine demeure ainsi le marché émetteur le plus important pour le tourisme tunisien. Le retour confirmé des marchés européens Les visiteurs européens atteignent 2,22 millions d’entrées sur la période considérée, avec une hausse de 8,9 % par rapport à 2024 et de 10,1 % comparé à 2019. La France maintient sa position de premier marché européen avec 803 794 visiteurs, enregistrant une croissance de 8 % par rapport à l’année précédente. L’Allemagne, l’Italie et le Royaume-Uni complètent le podium des marchés émetteurs européens. Le tourisme tunisien atteint un record de plus de 7 millions de visiteurs en moins d’un an pic.twitter.com/8jMOjrD5Sl — REF_INFO (@REF_INFO24) October 16, 2025 Plusieurs marchés européens affichent des progressions notables, notamment l’Irlande avec 96 % d’augmentation, le Portugal avec 17 %, la Suisse avec 14 % et la Grèce avec 25 %. En revanche, certains marchés d’Europe centrale connaissent un recul, avec la République tchèque à -10 % et la Slovaquie à -8 % par rapport à l’année précédente. Perspectives du secteur touristique en Tunisie Les arrivées en provenance d’Amérique du Nord s’élèvent à 53 852 visiteurs, marquant une hausse de 6 % sur un an et de 62 % par rapport à 2019. Les marchés asiatiques présentent des signes de reprise avec le Japon en progression de 35 %, la Chine de 15,5 % et le Brésil de 15 %. Bien que ces volumes restent modestes, ils témoignent d’une diversification géographique des visiteurs. La croissance globale de 13,8 % par rapport à 2019 place la Tunisie au-dessus de son niveau d’avant-pandémie. Cette performance s’explique par plusieurs facteurs, dont le renforcement de la connectivité aérienne et la reprise de la demande régionale. Les autorités touristiques poursuivent leurs actions pour développer l’offre et accroître la durée moyenne des séjours. Vous avez aimé cet article ? Ne ratez pas notre dernier article ! Source : ObservAlgerie

Le projet de loi de finances pour l’année 2026, présenté par le gouvernement français, prévoit une modification des conditions d’attribution des Aides personnelles au logement (APL). Selon les informations publiées par Le Figaro Étudiant, le 15 octobre 2025, cette réforme vise spécifiquement les étudiants étrangers. L’objectif annoncé par le ministère de l’Économie et des Finances est de recentrer le dispositif sur les bénéficiaires jugés prioritaires. Actuellement, les APL sont versées par la Caisse d’allocations familiales (CAF) à tous les étudiants remplissant les critères de ressources, indépendamment de leur nationalité. La mesure proposée introduit une restriction pour les étudiants étrangers ne bénéficiant pas d’une bourse sur critères sociaux ou d’une aide équivalente. Les étudiants étrangers boursiers resteraient éligibles aux APL, tandis que les autres en seraient exclus à partir de l’année universitaire 2026-2027. Cette mesure est intégrée à un ensemble plus large d’ajustements budgétaires visant les politiques sociales. Le gouvernement justifie cette décision par la nécessité de maîtriser les dépenses publiques liées au logement et de concentrer les aides sur les personnes considérées comme les plus vulnérables. Les étudiants étrangers en France dans le viseur  Le projet de loi de finances 2026 s’inscrit dans un contexte de rationalisation des dépenses sociales. Selon les données communiquées par Le Figaro Étudiant, la dépense totale liée aux APL représente plusieurs milliards d’euros par an et concerne plus de six millions de foyers, dont une part importante d’étudiants. Le gouvernement souhaite limiter la progression de cette dépense en agissant sur les conditions d’accès et en gelant la revalorisation annuelle du barème des aides. En parallèle, le ministère de l’Intérieur a indiqué qu’en 2024, plus de 110 000 titres de séjour avaient été délivrés pour le motif « études ». Ces étudiants étrangers représentent environ 15 % de la population étudiante en France, selon les données publiées par Campus France, établissement public chargé de la promotion de l’enseignement supérieur français à l’international. La suppression des APL pour les étudiants étrangers non boursiers pourrait donc concerner plusieurs dizaines de milliers de personnes. Les représentants de certaines organisations étudiantes ont réagi à cette annonce. L’Union nationale des étudiants de France (UNEF) a déclaré que cette mesure « fragilisera encore davantage les étudiants étrangers déjà confrontés à un coût de la vie élevé ». De son côté, le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche n’a pas encore précisé les modalités d’application du dispositif, notamment en ce qui concerne la transition pour les étudiants déjà installés en France avant 2026. Modalités législatives et perspectives d’application Le texte du projet de loi de finances 2026 doit encore être débattu à l’Assemblée nationale et au Sénat. Les amendements parlementaires pourront modifier, préciser ou supprimer certaines dispositions. Si la mesure est adoptée en l’état, elle entrerait en vigueur au 1er janvier 2026, avec une application effective sur les versements d’APL à partir du second semestre de l’année universitaire 2026-2027. Les organismes chargés de la gestion des aides au logement, notamment la Caisse d’allocations familiales (CAF) et la Mutualité sociale agricole (MSA), devront adapter leurs systèmes informatiques pour intégrer les nouveaux critères d’éligibilité. Les universités et les établissements d’enseignement supérieur recevront des consignes concernant l’information des étudiants étrangers concernés. Le gouvernement n’a pas annoncé de dispositif de remplacement spécifique pour les étudiants exclus des APL. Les autres formes d’aides au logement, comme les dispositifs régionaux ou municipaux, resteront accessibles selon les règles locales en vigueur. Le ministère de la Transition écologique a précisé que la réforme des APL s’inscrit dans une stratégie de « rationalisation des dépenses publiques », sans communication complémentaire sur d’éventuels dispositifs compensatoires. Vous avez aimé cet article ? Ne ratez pas notre dernier article ! Source : ObservAlgerie

C’est une journée chargée pour Sifi Ghrieb. Ce jeudi, le Premier ministre est en tourné officielle dans la wilaya de Chlef. Mandaté par le président […] L’article Ghrieb relance 3 usines « en sommeil » et inaugure de nouveaux projets industriels est apparu en premier sur .

La compagnie maritime Nouris Elbahr Ferries a lancé une promotion sur la liaison entre Marseille et Alger comprenant le transport d’un véhicule. Cette initiative s’inscrit dans un contexte de multiplication des offres tarifaires dans le secteur des traversées maritimes vers l’Algérie. Dans un communiqué publié mercredi 15 octobre, Nouris Elbahr Ferries a dévoilé cette promotion. Le document précise que l’offre concerne exclusivement la traversée entre Marseille et Alger programmée pour le 17 octobre 2025. Selon les termes du communiqué, le tarif de 342 euros inclut la place d’un passager sans hébergement ainsi que le transport d’un véhicule dont les dimensions ne doivent pas excéder 5 mètres de longueur et 1,91 mètre de hauteur. La compagnie maritime précise que cette promotion reste valable dans la limite des places disponibles. Les réservations peuvent être effectuées sur le site internet de la compagnie ou auprès de ses points de vente agréés. Cette démarche commerciale s’aligne sur les stratégies tarifaires actuellement observées chez plusieurs opérateurs maritimes desservant les ports algériens. Le paysage concurrentiel des traversées Algérie Ferries a également mis en place des tarifs promotionnels sur ses liaisons maritimes avec la France. Lors d’une annonce diffusée sur sa page Facebook dimanche 12 octobre 2025, la compagnie nationale a présenté des offres spéciales concernant les liaisons entre les ports algériens et Marseille. Ces réductions s’appliquent aux lignes connectant Marseille aux ports d’Alger, d’Oran et de Skikda. Sur les liaisons Alger-Marseille et Skikda-Marseille, les tarifs débutent à 21 620 dinars algériens pour un passager sans véhicule. La formule incluant un véhicule est proposée à partir de 53 120 dinars algériens. Pour la ligne Oran-Marseille, le billet sans véhicule commence à 22 520 dinars algériens, tandis que la traversée avec véhicule est commercialisée à partir de 59 020 dinars algériens. Les stratégies tarifaires du secteur La compagnie spécifie que tous ces tarifs s’appliquent uniquement aux billets aller simple, conformément aux informations communiquées dans sa présentation vidéo. Algérie Ferries avait préalablement prolongé une politique de réductions atteignant jusqu’à 50% jusqu’au 31 octobre 2025. Cette décision avait été formalisée dans un communiqué publié le mardi 16 septembre. La compagnie espagnole Balearia a de son côté annoncé des baisses de prix sur ses traversées entre l’Espagne et l’Algérie. Ces réductions ciblent plus particulièrement les passagers embarquant depuis le port de Valence. Cette orientation commerciale répond à une augmentation de la demande vers le pays nord-africain tout en harmonisant sa politique tarifaire avec les évolutions du marché. Vous avez aimé cet article ? Ne ratez pas notre dernier article ! Source : ObservAlgerie

Le groupe Sonatrach a signé un accord avec la compagnie tchèque ČEZ portant sur l’extension du contrat actuel de fourniture de gaz à destination de la République Tchèque, annonce ce jeudi un communiqué du groupe pétrolier et gazier. « Cet accord prévoit la livraison de gaz naturel, pour une période supplémentaire d’une année à compter du 1er octobre 2025, via le gazoduc reliant l’Algérie à l’Italie », précise le communiqué. En vertu de cet accord, Sonatrach « consolide sa position sur le marché tchèque, tout en répondant à la demande croissante de gaz naturel sur le marché européen et en particulier en Europe Centrale. » De plus, cette collaboration « renforce non seulement la présence de l’Algérie sur la scène énergétique internationale, mais témoigne également de son engagement à étendre les sujets de coopération économique bilatérale à un niveau plus large« , conclut le communiqué. The post Sonatrach prolonge son contrat de fourniture de gaz avec la compagnie tchèque ČEZ appeared first on Algerie Eco.

Dans un contexte où l’industrie algérienne cherche à consolider sa présence sur les marchés mondiaux, le groupe public GICA continue de faire parler de lui. […] L’article Exportations : l’Algérie envoie 2 millions de tonnes de ce produit vers l’Europe  est apparu en premier sur .